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Bien-être - Beauté - Santé - Mieux-être au Naturel- Produits Capillaires de repousse Naturels MONAT Québec Canada USA-EUROPE- MONAT PRODUITS de Soins de SANTÉ et BEAUTÉ CAPILLAIRE Naturel et Végan .

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PERTE ou CHUTE DE CHEVEUX- CALVITIE- Chute de cheveux - Perte cheveux - Alopécie- HOMMES et FEMMES - Il existe des produits anti chute de cheveux naturels pour y faire face!

LA SOLUTION de la CHUTE de CHEVEUX ou PERTE de CHEVEUX

Pourquoi une perte ou chute de cheveux Subite ou Lente ?
Comment y remédier?
EXISTE t-il une SOLUTION un PRODUIT ou MÉDICAMENT ANTI CHUTE de cheveux?

Voilà de nombreuses questions que se pose toute personne qui se retrouve dans cet état avec une perte de cheveux prématurées.
Quelle est la normalité ?

L'image “http://img.bleskovky.sk/20532.jpg/bruce-willis.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Nous perdons donc nos cheveux chaque jour, et c’est normal : perdre une cinquantaine de cheveux par jour est tout à fait normal. Mais ensuite, si la chute est plus importante, il est important de réagir… car il y a une origine, une cause bien précise à cela, qu’il ne faut surtout pas négliger.

Pourquoi naissons-nous avec tel ou tel capital cheveux ?

Les cheveux semblent peu influencés par le milieu extérieur et la transmission de leurs principales caractéristiques est essentiellement génétique.

Cependant, comme les ongles, ils sont principalement constitués de protéines (kératine) et leur santé est donc influencée par l’hygiène alimentaire de la personne.

 
La vie d'un cheveu


  • Leur nombre : entre 90.000 et 150.000
  • Leur origine, leurs racines : ils sont issus des follicules ou bulbes pileux qui ont entre 15 et 25 cycles de vie
  • Chaque bulbe est annexé à la glande sébacée (qui se développe surtout après la puberté)
  • La transmission des caractéristiques d’une chevelure est essentiellement génétique
  • Le diamètre d'un cheveu varie entre 0,05mm et 0,1mm
  • Chaque cycle de vie d’un cheveu est bien défini Il y a 3 phases importantes de la durée de vie de nos cheveux :
  • La plupart de nos cheveux sont en phase de croissance (c’est-à-dire qu’ils ont entre 2 et 5 ans). Il s’agit de la plus longue phase de la vie du cheveu, durant laquelle chaque cheveu peut croître de 0,75 à 1,5 cm par mois.
  • A cette phase de croissance succède une phase de préparation de 3 semaines : le cheveu se prépare pour la phase de repos
  • Une phase de repos de 3 mois qui mène à la chute du cheveu.
  • Puis, le cycle recommence : un nouveau cheveu repousse et remplace celui qui est tombé.

TOUS menacés !

Les hommes :

 

  • Environ 65 % des hommes connaissent un problème de chute de cheveux

  • 38 % victimes de calvitie ou d’alopécie localisée deviendront partiellement chauves.
  • Ces chutes de cheveux peuvent débuter dès l’âge de 18 ans, elles atteignent un homme sur trois à trente ans, et près d'un homme sur deux aux alentours de la cinquantaine.


Les femmes :



  • Environ 70 % des femmes doivent faire face à un problème de chute de cheveux durant une période de leur vie, mais elles sont généralement favorisées d’un point de vue hormonal jusqu’à la ménopause ou la pré ménopause.

  • Certaines fmmes, plus sensibles d’un point de vue génétique, peuvent souffrir d’alopécie diffuse : les cheveux, dans ce cas, s’affinent et se raréfient sur l'ensemble du cuir chevelu.

Alopécie Androgénétique

 

Qu’est-ce que c’est ?


Une chute de cheveux liée à deux facteurs : un facteur hormonal, et un facteur héréditaire

Une sensibilité génétique du cuir chevelu aux androgènes (hormone masculine dont la principale concernée est, dans ce cas, la testostérone). Il s’agit donc d’une prédisposition de terrain.

Elle peut être plus communément appelée alopécie séborrhéique ou encore calvitie « classique » car elle touche 90 % des hommes souffrant d’alopécie

Elle s’installe lentement et de façon diffuse.

Elle est en lien direct avec les hormones masculines présentes dans le sang, mais se manifeste principalement au niveau du cuir chevelu. Ce sont les bulbes pileux des zones frontales, pariétales (tempes) et du sommet du crâne qui sont les plus sensibles à ces perturbations hormonales. 

L'alopécie androgénétique est apparue chez les femmes il y a une vingtaine d’années. Depuis, elle en touche un nombre sans cesse croissant

Chez la femme, l’alopécie androgénétique consiste en un affinement du cheveu. Elle est moins spectaculaire que chez l’homme et se concentre sur le dessus du crâne ou sur la raie.

Le corps de l’homme produit des androgènes tout comme celui de la femme (20 fois moins que chez l’homme). L’ensemble des androgènes est sécrété par les gonades (testicules et ovaires, 40 %) et les glandes surrénales (60 %). Ces hormones possèdent de nombreuses fonctions organiques, mais pour les deux sexes et s’il y a une sensibilité génétique, elles accélèrent et raccourcissent le cycle de vie des follicules pileux.

Dans le cas d’une hypersensibilité génétique, les cheveux deviennent de plus en plus fins et plus courts. Ensuite, les bulbes épuisés se rétrécissent, ne produisant plus qu’un fin duvet, c’est ce qui mène à la calvitie

Les antécédents familiaux sont un facteur essentiel pour déterminer une alopécie androgénétique.

 
Explications d’un point de vue physiologique

Au niveau du cuir chevelu, la testostérone se transforme en dihydrotestostérone (DHT) sous l'influence d'une enzyme, la 5α –réductase. La DHT stimule les glandes sébacées qui augmentent leur production de sébum. Cet effet est particulièrement visible à l’adolescence. Le sébum qui stagne dans le follicule pileux va progressivement l’obstruer. Dès lors, le cuir chevelu s’épaissit, ce qui empêche les vaisseaux sanguins de bien nourrir le bulbe.

Une autre action négative connue de la DHT est d’abréger la phase de croissance du cheveu et de son cycle vital, ce qui rend le cheveu plus mince et plus fragile.

C’est la transmission des gènes alopéciques par la mère ou par le père, ou par les deux, aussi bien chez le garçon que chez la fille, qui provoque cette prédisposition génétique.

Ces gènes stimulent l'activité de la 5 a-réductase, qui à son tour entraîne une sécrétion beaucoup plus importante de DHT.
Il faut donc bien comprendre que dans ce cas, ce n’est pas la quantité de testostérone sécrétée qui est en cause, mais bien la façon « anormale » dont elle est utilisée et convertie par les follicules pileux génétiquement programmés. Autrement dit, il ne s'agit pas d'un trouble hormonal, mais d'une anomalie des récepteurs des bulbes.

S’il n’existe aucune prédisposition génétique, les deux substances s'associent sans conséquence et ne gênent en rien le développement physiologique normal du cheveu.
 
 

Alopécie androgénétique chez la femme

Les antécédents familiaux constituent un facteur essentiel pour poser le diagnostic d’une alopécie androgénétique.

Mais plus de 20 % des femmes atteintes n'ont pas d'antécédents dans leur famille et présentent pourtant les signes cliniques de cette alopécie.Environ 30 % de femmes souffrent d'alopécie androgénétique.

Cette prédisposition est liée à une hypersensibilité aux androgènes et à l'hyperactivité de l'enzyme, la 5α-réductase. Comme chez l’homme dans ce cas, il sera impératif d’agir localement (au niveau du cuir chevelu) sur la production d’androgène et de 5α-réductase.

Il est très important d'agir dès les premiers signes de chute anormale, car une fois le capital cheveu épuisé aucun retour en arrière ne sera jamais plus possible. Un soin en application externe peut améliorer l'aspect des cheveux, cependant il ne suffira pas à garantir l’intégrité des follicules pileux. Un traitement interne ponctuel, qui pourra au besoin être renouvelé à certains moments de la vie, est absolument indispensable. Il est cependant très important de connaître le type de chute auquel la personne est confrontée afin de choisir le traitement antichute le mieux adapté.

L’alopécie androgénétique est très facile à diagnostiquer chez la femme : les cheveux sont clairsemés uniquement sur le dessus du crâne et parfois sur les tempes, alors que la chevelure de la nuque

et des tempes reste dense et bien fournie. Cette alopécie commence par un élargissement de la raie médiane. Les cheveux deviennent plus fins et cela va parfois de pair avec une hyperséborrhée. C’est irréversible si l’on ne traite pas le problème.

La sévérité des symptômes varie beaucoup d'une femme à l'autre et semble n’avoir aucun lien avec l’âge même si certaines périodes (grossesse, préménopause, ménopause) de la vie d’une femme soient plus propices à l’apparition ou à l’aggravation de ce trouble.

L’importance de l’alopécie est en lien direct avec la sensibilité plus ou moins prononcée du cuir chevelu aux androgènes.

L’évolution de l'alopécie androgénétique chez la femme est plus lente que chez l’homme. Dans les cas les plus sévères, les zones fragilisées peuvent se dégarnir de manière importante, mais heureusement jamais totalement. En effet, les femmes sécrétant beaucoup plus d'hormones féminines que d'hormones masculines, leurs œstrogènes (hormones féminines) atténuent les effets des androgènes et prolongent la durée des cycles pilaires.

Il est essentiel d'agir dès les premiers signes de chute anormale, car une fois le capital « bulbe » épuisé, il sera plus difficilement possible, voire impossible de retrouver une belle chevelure.

 

 

Alopécie androgénétique chez l’homme

Il s’agit de l’alopécie la plus courante chez l'homme.

Elle touche aussi bien de jeunes hommes dès l'âge de 20-22 ans (20 %) que des hommes de la quarantaine

50 % des hommes à partir de 50 ans souffrent d’alopécie androgénétique. Cette alopécie vient d’une prédisposition héréditaire c'est-à-dire qu’elle se transmet généralement de père en fils. Cela ne signifie pas que tous les hommes souffrant d'alopécie androgénétique auront un enfant prédisposé à ce type d’alopécie. Celle-ci est liée à l'hyperactivité de l’enzyme, la 5α-réductase, qu'il est essentiel de réguler, mais qu’il est impossible d'inhiber totalement puisqu’elle est inévitablement liée à la production de testostérone.

On reconnaît la chute de cheveu androgénétique par sa localisation. Les zones dégarnies sont le haut du front (golfes bilatéraux) ou le sommet du crâne, dans cette zone la chute débute généralement par une tonsure, alors que la nuque et les tempes restent denses et bien fournies. Cette chute trouve son origine dans l’hyperactivité de la 5 alpharéductase.

Cette enzyme va convertir, de manière locale et excessive, la testostérone en dihydrotestostérone (DHT). Le taux trop élevé de DHT aura pour conséquence de raccourcir la phase de croissance du cheveu.

La durée de chaque cycle pilaire va considérablement diminuer et passer de quelques années à quelques mois. Les cycles pilaires, normalement programmés pour durer toute une vie, vont dès lors s'épuiser beaucoup plus rapidement. L’excès de DHT provoque généralement une augmentation de l’activité des glandes sébacées voisines des bulbes pileux. Cet excès de séborrhée va peu à peu obstruer les pores du bulbe qui petit à petit étouffera. Parallèlement, le cuir chevelu n’est plus bien vascularisé, ni nourri. L’ensemble de ces phénomènes va entraîner une atrophie des bulbes, ce qui entraîne tout d’abord un éclaircissement des cheveux, et ensuite, une disparition progressive et totale des cheveux sur des zones de plus en plus étendues du cuir chevelu.

 

Autres types d'alopécie

La pelade

Dans ce cas, la chute de cheveux survient sur une ou plusieurs zones bien délimitées du cuir chevelu (plaques généralement rondes). Son évolution n’est pas prévisible. Il arrive que les cheveux repoussent spontanément en quelques mois, et dans d´autres cas, la pelade peut évoluer jusqu´à la calvitie totale ou persister durant plusieurs années.

Quelle qu’en soit l’origine, les récidives sont fréquentes.

Le stress est un facteur déterminant dans le développement de la pelade, mais pourtant, son origine est pas toujours psychosomatique (choc émotionnel, gros stress). Les causes n’en sont pas toujours bien déterminées.

 

Souvent, au microscope on constate une inflammation visible autour du follicule pileux. Il y a alors un ralentissement de la croissance du cheveu qui peut aller jusqu´à l'arrêt de la pousse. L'inflammation est probablement due à une réaction de type auto-immune. Dans ce cas, les anticorps attaquent le follicule pileux ce qui ralentit ou suspend sa fonction, sans qu’il soit pour autant définitivement ou totalement détruit.

La pelade pourrait aussi être provoquée par des foyers infectieux voisins (dentaire, oculaire ou sinusal).

 

 

L’alopécie dite séborrhéique

Il ne s’agit pas d’une alopécie en tant que telle, mais plutôt d’un facteur aggravant ou favorisant. En effet, l’excès de sébum est sécrété en excès par les glandes voisines des bulbes pileux. Le sébum (graisse) obstrue le pore du bulbe par lequel pousse le cheveu. Le bulbe étouffe et a tendance à s’atrophier. Si ce phénomène s’associe au déséquilibre hormonal local, on entre dans le schéma de l’alopécie androgénétique.

Toutes les personnes chauves n’ont pas développé d’office une séborrhée, et les cheveux gras ne tombent pas inéluctablement.

Chez les femmes, comme chez les hommes prédisposés, le stress favorise l’excès de séborrhée, les états pelliculaires et les démangeaisons du cuir chevelu.

Toutes les personnes chauves n’ont pas développé d’office une séborrhée, et les cheveux gras ne tombent pas inéluctablement.

Chez les femmes, comme chez les hommes prédisposés, le stress favorise l’excès de séborrhée, les états pelliculaires et les démangeaisons du cuir chevelu.

 

 

L'effluvium télogène

 C’est une forme de calvitie, chez l'homme ou chez  la femme, qui se manifeste par des chutes de cheveux démesurées et soudaines sur la totalité du cuir chevelu.

L’étendue de la chute des cheveux de l’effluvium télogène se distingue de l’alopécie androgénétique qui ne concerne que certaines zones bien définies du cuir chevelu

Elle concerne une minorité d’hommes

Ce type d’alopécie est occasionné par des carences, des facteurs extérieurs ou des troubles de l’organisme et apparaît par exemple lors de maladies générales graves, de stress important consécutif à des interventions chirurgicales ou à des blessures, des fièvre, des régime alimentaire trop sévères, des carencesen fer, etc.

Ces pertes de cheveux abondantes (par poignées parfois) sont normalement réversibles dès que l’on détecte et supprime l’élément déclencheur de la chute.

Les causes de l’effluvium télogène passagère sont très diverses :  grossesse, accouchement, changements de saison, interventions chirurgicales importantes, pathologies prolongées, chocs affectifs intenses, larrêt de prise de contraceptif, etc.

Dans certains cas, les chutes de cheveux par effluvium télogène peuvent être durables ou le devenir si elles ne sont pas bien traitées. Il faut être particulièrement vigilant lors d’états dépressifs prolongés ou lors de stress permanent, lors de prise de médicaments à long terme. Il faut surveiller les troubles du métabolisme dus à un régime alimentaire draconien ou à une anorexie. Et lors de perte de cheveux abondante et répandue sur l’ensemble du cuir chevelu, il faut écarter certaines causes possibles et sournoises comme les carences en zinc, en magnésium, en calcium ou en en fer, ainsi que d’éventuels problèmes thyroïdiens ou hormonaux.


 

Quand faut il s'inquiéter ?


Homme ou femme, il est tout à fait normal de perdre des cheveux chaque jour. Il s’agit comme pour tout autre tissu, d’une régénérescence ou d’un renouvellement de nos cellules et d’une élimination des cellules mortes ou trop âgées. Cependant, si ce processus s'accélère ou s’aggrave de quelque manière que ce soit, il est nécessaire de réagir très vite afin d'éviter l'épuisement de votre capital « bulbe pileux » qui, rappelons le, est limité.

Perdre chaque jour une cinquantaine de cheveux, c’est tout à fait normal. Mais s’il vous semble que vos cheveux sont trop fins, sans tenue ou ternes, rien ne vous empêche d’effectuer une cure d’environ 3 mois de nutriments et vitamines spécifiques.

Cela redonnera définitivement tonus, brillance et santé à votre chevelure.

Si vous perdez entre 50 à 80 cheveux par jour, il n’y a rien d’alarmant, Cependant il faut, même en prévention, entreprendre les actions nécessaires en fonction du type de chute de cheveux que vous présentez (stress, carences, prédisposition androgénétique, pathologies)

La perte de plus de 80 cheveux est considérée comme alarmante. Il ne faut pas laisser s’installer ou perdurer le problème. Un véritable traitement d'attaque avec des produits naturels et spécifiques devrait dès lors être entrepris le plus rapidement possible.




Réagissez vite !

Des soins capillaires performants et adaptés, il en existe, pour hommes ou femmes de tout âge.

Les traitements contre la chute de cheveux sont performants s’ils agissent sur les différentes facettes du problème. D’une part, il est essentiel de stimuler les fonctions vitales du cheveu afin de compenser les diverses causes de chutes (effets négatifs des androgènes, du stress, des agressions extérieure, etc.). D’autre part, par des soins externes (shampoing, lotion, massage, etc.), il faut détoxiquer et assainir le cuir chevelu afin d’en éliminer les toxines et les cellules mortes. De plus, il est indispensable d’activer la vasodilatation du cuir chevelu afin de favoriser la circulation du sang vers les racines des cheveux.

L’amélioration de la circulation locale du cuir chevelu facilite l’apport de vitamines, minéraux

et acides aminés adaptés et apportés par des compléments nutritionnels. Cette reminéralisation du cheveu par voie interne stimule la repousse.

L’idéal est, bien entendu, en parallèle, de surveiller étroitement votre hygiène de vie. Lorsque l’organisme est négligé, les premières cellules à en subir les conséquences sont les cellules à renouvellement rapide, comme celles des cheveux ou de la peau. Surveillez votre alimentation au quotidien, cela ne ferra que potentialiser les effets du traitement antichute.

Dans tous les cas de chute de cheveux, des massages légers du cuir chevelu, même de quelques minutes par jour, stimulent la repousse d’autant mieux qu’ils sont associés à des traitements performants.


 

 

Spécificités féminines

La femme est davantage soumise à diverses variations hormonales durant certaines tranches de vie (stress, accouchement, ménopause, préménopause...). Au cours de ces moments, les cheveux s’appauvrissent, les bulbes se fragilisent et la durée des cycles pilaires est parfois réduite si le cuir chevelu est

trop réceptif aux hormones mâles, les androgènes.

Ces différents phénomènes entament de manière significative le précieux « capital bulbes », et ce, parfois en seulement quelques années.


 

 

Spécificités masculines

La majorité des hommes croient que l’alopécie est héréditaire ou irrémédiable, or c’est entièrement faux !

Une simple lotion, si elle est de qualité, peut aider à améliorer l'aspect de vos cheveux et même en stopper la chute, mais elle ne suffira pas à re-nourrir le cheveu ou le cuir chevelu en profondeur, ni à enrayer les déséquilibres hormonaux ou séborrhéiques qui ont une origine plus profonde.

Il est essentiel d’agir efficacement et dès les premiers signes de chutes anormales, pour cela il faudra opter pour un traitement interne à long terme ou ponctuel à renouveler à certains moments de la vie.

Quelle que soit l’origine de la chute, si l’on veut obtenir une repousse, il faut absolument stimuler l'activité des bulbes pileux par un traitement par voie orale à base de nutriments et de vitamines.

Des soins naturels et appropriés peuvent enrayer cette sensibilité hormonale ainsi que les excès de sébum.

Grâce à des traitements performants et de qualité, il n'est pas plus difficile de traiter un homme qu'une femme et les résultats sont tout aussi probants quel que soit l’appartenance sexuelle .


 

Une action locale

L’alopécie androgénétique relève d’un déséquilibre des androgènes à différents endroits bien localisés de la peau.

En tenant compte de ce paramètre de déséquilibre local, de récentes recherches médicales ont donné naissance à une nouvelle approche et technologie esthétique innovatrice.

De nouvelles générations de produits cosmétiques naturels sont apparues sur le marché permettant de contrer localement les déséquilibres hormonaux. Leurs effets sont nettement moins agressifs que ceux des molécules chimiques telles que le Minoxidil ou le Finastéride. De plus, ils n’ont pas de répercussions au niveau hormonal global et donc aucun effet secondaire, ni aucune contre-indication.


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